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Enquête sur le stationnement en région bruxelloise
Du
mercredi 9 juin 2021
Au
mercredi 10 août 2022
1762
Participants
Notre enquête examine sous différents angles, l’opinion des Bruxellois et autres automobilistes concernés, par rapport à la suppression de 65.000 places de surface, et plus généralement les conditions du stationnement dans la Région de Bruxelles-Capitale.
Au total 1680 personnes ont répondu à notre enquête en ligne qui s’est déroulée du 10 juin 2021 au 10 août 2021. Sur ces 1680 personnes, 81,9% sont des habitants la Région de Bruxelles Capitale et 18,1% des navetteurs se rendant dans cette région.
Dans le total des répondants, 8,7% viennent du Brabant flamand et 6,4% du Brabant wallon.
Les réponses sont claires : Bruxelles-Mobilité n’a pas cherché à développer des alternatives réalistes de transports ou de stationnement aux mesures de restriction qu’elle entend imposer. C’est clairement l’opinion majoritaire des répondant à cette enquête.
Faut-il insister ici sur le fait, qu’au vu de ces chiffres, les répondants estiment que cette politique est irréaliste, défaillante et au mieux, insuffisante. L’impression générale étant que Bruxelles-Mobilité supprime, contraint, empêche, interdit, restreint les libertés et les choix des citoyens en leur renvoyant la balle quelles que soient leurs conditions. Il n’en est pas tenu compte.
A eux de trouver des solutions aux problèmes créés par Bruxelles-Mobilité, ils sont laissés à l’abandon : les PMR, les familles, les travailleurs, ceux qui ne peuvent pas se passer d’une voiture ou sont dans l’impossibilité matérielle et physique d’utiliser d’autres moyens de mobilité, etc. Qu’ils se débrouillent.
Ceci montre que la Région de Bruxelles-Capitale travaille à l’envers : elle crée une situation nouvelle contraignante, sans en avoir sérieusement anticipé les conséquences, et en ne proposant pas de nouvelles alternatives de mobilité ou de stationnement efficientes.