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- Automobilistes, la région et les communes bruxelloises vous mettent sur la paille avec le sourire...
Mauto Défense s'est "amusée" à calculer (à la grosse louche, et juste pour tenter d'éclairer un peu nos abonnés) ce que les autorités bruxelloises ponctionnent "en stoemelings" (en douce) dans la poche des braves automobilistes qui s'aventurent inconsciemment sur son territoire! Les chiffres ne sont pas faciles à obtenir (ni à objectiver avec précision), toutefois nous avons tenté de les identifier par recoupement. Voici nos calculs: Parcmètres + scancars: la commune d'Uccle a perçu 7,2 millions d'euros par ce biais en 2023. Nous ramenons cela à 7 millions (Uccle est une commune de taille moyenne, si on la compare à Bruxelles-ville ou à Saint-Josse-ten-Noode). Amendes 1: environ 500.000 excès de vitesse (!) ont été constatés en RBC en 2023. Si on estime à une amende moyenne de 100€ par infraction, on arrive à un montant approximatif de 50 millions d'euros. Amendes 2: les 30.000 véhicules non-autorisés qui ont pénétré dans la LEZ (Low Emission Zone) en 2023 ont rapporté 350€ x 30.000 = 10,5 millions d'euros. Au total, ces trois postes ont donc rapporté annuellement, la somme astronomique de 193,5 millions d'euros aux caisses régionales/communales! (N.B: Montant auquel il convient encore d'ajouter (Belgique entière) la taxe de circulation - 1,7 milliards, d'immatriculation - 34 millions, et la TMC - 460 millions - chiffres 2020/FEBIAC)... À titre de comparaison, que représente exactement ce montant en regard du budget régional? On pouvait lire récemment sur le site de BX1 à propos du budget 2024: "Il a également été convenu que la Région bruxelloise ferait des économies sur les frais de personnel et de fonctionnement, les investissements et les subventions et procéderait à des réformes à hauteur de 150 millions d’euros, pour réduire le déficit d’un quart" Donc si nous calculons bien, l'encaissement de ces 193,5 millions d'euros, contribueraient à hauteur de 32% à la réduction du déficit régional (s'il lui était entièrement affecté). Nous sommes conscients que les montants des parcmètres et des amendes ne reviennent pas directement/entièrement à la région ou aux communes, mais ils sortent toujours de la même poche: celle des automobilistes... Pourtant le rêve des autorités au pouvoir, serait d'éradiquer complètement à terme la voiture de la région bruxelloise. Cela reviendrait à se priver de cette manne miraculeuse de près de 200 millions d'euros, et d'ainsi courir encore plus vite vers la faillite de la RBC... Mais pour imposer leurs idées folles, les responsables politiques ne comptent pas, c'est bien connu!
- Elections 2024, pour qui voter?
De plus en plus de nos abonnés nous demandent pour qui voter aux prochaines élections de juin 2024. La réponse à ces questions n'est pas simple, car même au sein des partis, la mobilité fait débat! La règle numéro 9 de notre groupe dit ceci: Communications politiques: Nous ne publions pas de communiqués ou de posts liés à un parti politique. Nous tenons à notre neutralité. Nous ne sommes donc liés à aucun parti, mais nous connaissons nos ennemis, que les choses soient bien claires! Nous devons donc tenter de vous donner les éléments de base qui vous aideront à faire votre choix, tout en gardant une certaine distance qui doit préserver au mieux notre neutralité. Notre combat est celui qui consiste à défendre les automobilistes et les motards. Il y a donc clairement des mouvances qui nous sont hostiles, et ce sont celles-là que nous vous demandrons de combattre. Mais votre choix reste bien sûr totalement libre, et doit être fidèle à vos opinions! Ensuite, il faut évidemment se méfier des belles promesses, qui n'engagent que les candidats qui en sont les auteurs. Il est évident que le sujet peut être soit un apport de voix, soit un piège éliminatoire. Notre groupe et notre ASBL rassemblent un nombre important d'électeurs, qui peuvent peu ou prou influencer le résultat des votes. Nous devons donc être prudents et ne pas nous précipiter dans un premier temps pour proposer des options, même si elles nous parraîssent faire preuve de bon sens. Le principe que nous pouvons cependant mettre en haut de la liste, est de tout faire pour tenter de pousser les candidats Ecolo en dehors des constitutions des différentes majorités. Cela peut sembler être une évidence, mais le sytème électoral belge est tel, qu'il suffit d'obtenir un pourcentage entre 15 et 20%, pour se retrouver à la table des négociations. Nous sommes actuellement les victimes de ce système, car les partis verts n'avaient pas dépassé 20% des suffrages lors du dernier scrutin, et pourtant ils sont partout aux commandes... Le dernier sondage (Le Soir - décembre 2023) donnait encore près de 17% pour Ecolo! Vous êtes donc prévenus! Pour vous aider à faire vos choix aux différents niveaux de pouvoir (Européen, fédéral, régional et finalement communal), nous sommes en train actuellement, de préparer un questionnaire qui posera les questions qui fâchent ou qui divisent, et qui seront envoyées à tous les partis, ainsi qu'à quelques individualités en vue dans le monde politique du pays. Il ne faut pas non plus perdre de vue que, pour émettre un vote utile, il convient de tenir compte des rapports de force, et des coalitions possibles entre les différents partis. Pour cela il est important pour chacun d'entre vous de se documenter en amont. Il vous est aussi loisible de sélectionner l'un ou l'autre candidat qui vous semble le plus proche de vos idées, quelque soit sa couleur. Même si nous sommes conscients que les sujets à traiter sont nombreux (sécurité, pensions, santé, etc.),il va de soi que le thème unique de notre sondage sera la mobilité, vous vous en doutez! Une fois les questionnaires complétés, nous en publierons les résultats. A vous ensuite de faire vos choix... Encore un peu de patience, donc, mais sachez que nous prenons le problème à bras le corps.
- L'association DRP dénonce le nouvel aménagement de la place Meiser à Schaerbeek.
PLACE MEISER à SCHAERBEEK, DES MILLIONS POUR LA REAMENAGER … et POUR EMBOUTEILLER DAVANTAGE ? Depuis des décennies, cette place à l’est de Bruxelles remplit la fonction d’un pôle de mobilité vers où convergent 8 entrées et 7 sorties de voiries pour 3 lignes de trams ( n°7, 25 et 62) et pour voitures (dont 4 pour bus STIB ou DE LIJN), sans oublier les cyclistes, surtout le long de l’axe des boulevards Reyers-Wahis, Ce rôle est indispensable pour une mobilité efficace dans l’est de Bruxelles. Mais la superficie de cette place est physiquement insuffisante pour faire face aux sollicitations de plus de 60 trams par heure de pointe), des bus (lignes STIB n°63 et DE LIJN), des 4-roues (6000 par heure en pointe), sans parler des cyclistes (surtout le long des boulevards). La photo ci-dessous, prise le 4 mai 2023 vers 17h, est bien représentative de la Chaussée de Louvain, dans la direction de la Pl Meiser en venant de la Pl Dailly. La superficie insuffisante de cette place Meiser, c’est « la » donnée du problème. Vouloir cadenasser la circulation dans l’espace actuellement disponible (a fortiori le réduire pour la circulation, comme cela ressort du Projet récemment révélé dans les medias), c’est se condamner à échouer dans la suppression des embouteillages. La seule solution positive est donc d’augmenter l’espace de ce pôle de mobilité. C’est la fierté de l’espèce humaine d’être capable d’augmenter l’espace disponible pour son habitat et pour sa mobilité. Depuis des siècles, ont ainsi fleuri sur tous les continents des tunnels et des ponts ou viaducs….sans parler des îles artificielles. Pour l’aménagement de la Place Meiser, la solution retenue déjà dans le plan régional IRIS 2 vers les années 2010 à 2016 pour augmenter cet espace était DONC le double tunnel pour trams et pour voitures sous l’axe des Boulevards Reyers et Wahis de la moyenne ceinture : on savait (DRP a fait des relevés précis) qu’environ 6000 4-roues convergent vers la Pl Meiser en heure de pointe, dont 2400 suivent un itinéraire rectiligne selon les boulevards Reyers-Wahis. Débarrassée de ces 2400 véhicules (40 % du trafic) et des 2 x 10 = 20 longs trams de la ligne 7 entrant par heure de pointe, la Place Meiser peut alors assurer la fluidité de la circulation ! C’est ce que le Gouvernement Bruxellois des années 2012..2015 avait décidé, après avoir commandé une étude approfondie au Bureau Stratec : plusieurs variantes de tunnel étaient d’ailleurs offertes Aujourd’hui, ce qui empêche la réalisation du tunnel, c’est avant tout la position purement idéologique de certains décideurs politiques « on ne construit pas de tunnels ». Bien plus, on ose parfois parler de détruire ceux qui existent ! Et alors on se plaint des embouteillages et on en rejette la faute sur les citoyens qui doivent/veulent rouler en voiture. S’il y a un problème de ressources financières, une solution, déjà présentée à l’époque par l’asbl DRP, est de faire payer le passage dans ce tunnel, comme cela se fait dans diverses villes modernes, (surtout hors d’Europe, dans les pays qui « montent »). On avait calculé à environ 20 cents le payage requis pour amortir la lourde infrastructure du tunnel «autos plus trams» (environ 200 millions ). Accepterait on que Bruxelles en soit réduite aujourd’hui à un petit aménagement de surface, comme on pouvait en réaliser … au 19è siècle ? Le projet bientôt mis à l‘enquête publique prévoit d’installer deux croisements en série, protégés par des feux rouges, qui ne feront que ralentir davantage la circulation, avec formation d’ embouteillages encore allongés dans les voiries convergentes, avec la pollution qui les accompagne. TOUTES LES FORCES VIVES DE BRUXELLES DOIVENT DONC S’UNIR pour empêcher l’aménagement « bricolé » imaginé par certains et présenté récemment dans les médias, et pour faire enfin réaliser la construction du tunnel prévu depuis le siècle passé, au point que certaines parois avaient déjà été placées dans le sous-sol. DRP se veut être aussi une force de proposition pour une mobilité efficace à Bruxelles et ne manquera pas d’informer et de sensibiliser les dirigeant politiques car ils seront confrontés à des «arguments» des adversaires du tunnel. Certains parlent d’ambition pour Bruxelles : agissons maintenant ! AUX RESPONSABLES POLITIQUES de se positionner d’ici 2024 entre la proposition aggravante mise sur la table aujourd’hui et la proposition constructive du tunnel, adoptée lors de législatures précédentes mais ensuite bloquée. Plus d'articles de DRP? Cliquez sur le bouton ci-dessous:
- "4 travailleurs sur 10 vont au travail à vélo". Vraiment?
Le 10 janvier 2024 Le Soir publie un article intitulé : « Quatre travailleurs sur dix se rendent au travail à vélo, un record. » Ah, bon, quelle bonne nouvelle ! Ce chiffre est issu du « baromètre mobilité d’Acerta ». Premier point: un manque flagrant d'esprit critique... Il est loin le temps ou les rédacteurs en chef de « Le Soir », tels Yvon Toussaint ou Guy Duplat, faisaient preuve d’une extrême prudence à publier des résultats de sondages, faisaient analyser par des experts universitaires les méthodes et chiffres des sondages qu’on leur soumettait, et c’est seulement après cette validation scientifique qu’ils les proposaient à leurs lecteurs. Les journalistes de l’époque (tels Alain Lallemand) faisaient vraiment leur métier en toute objectivité et neutralité et ne se seraient pas permis de relayer de telles informations, qui ne résistent pas à la moindre analyse élémentaire. Adieu l'esprit critique et le recoupement des informations! 4 travailleurs sur 10 à bicyclette, vraiment ? Calculons: à Bruxelles, selon Actiris, on comptait en 2022 508.920 emplois. Depuis ce nombre est en hausse. Si 4 travailleurs sur 10 utilisent un vélo pour se rendre au travail (à Bruxelles), on devrait compter plus de 200.000 vélos sur les pistes cyclables bruxelloises, qui malheureusement paraissent désertes à l’observateur quotidien (il y a un nombre important de cyclistes dans le quartier rue des Arts/ rue de la Loi entre 7h30 et 9h et en fin de journée, mais un comptage donne 12 vélos/h aux mêmes heures chaussée de la Hulpe, par exemple). 200.000 vélos quotidiens cela devrait faire des embouteillages vélocipédiques dignes du démarrage d’un peloton du Tour du France. Et cela devrait faire exploser les compteurs de la Ministre de la mobilité, qui devraient passer de 1,3 millions de comptages par an (2023), à plusieurs dizaines de millions! En effet un calcul élémentaire montre que seuls 10.000 cyclistes quotidiens correspondent aux 1,3 millions de comptages annuels (les livreurs Uber eats, Delivero ou Take Away qui passent à plusieurs reprises devant les mêmes compteurs expliquant un grand nombre de ces comptages). Tout comme les 87.992 (source Actiris) demandeurs d’emploi qui se contentent d’un vélo. Le reproche que l'on peut faire à l'auteur de cet article, qui confond réalité et rêve des politiques, est indubitable : une analyse, une réflexion, un peu de prudence ou juste un soupçon de bon sens, auraient sans nul doute largement tempéré son enthousiasme! Le deuxième point concerne Acerta. Acerta est un bureau social qui n’a aucune compétence dans le domaine des sondages et enquêtes scientifiques . Ils se définissent eux-mêmes comme étant un "groupe de services RH global". C'est un service qui s'adresse, généralement à des indépendants ou à de petites entreprises. Leur clientèle n'est donc certainement pas un échantillon représentatif de l'ensemble des travailleurs de Bruxelles et de Belgique. Pire : leurs données sur l’usage du vélo sont basées sur des déclarations, et non sur des observations objectives comme cela devrait être fait dans un sondage sérieux. On a vraiment l'impression qu'une partie de la presse rapporte avec complaisance, des informations qui vont toujours dans le sens de ce qu'une minorité agissante veut imposer à la majorité des citoyens, apparemment peu disposée à se faire entendre. Lors des prochaines élections, peut-être?
- Pourquoi les assureurs réclament-ils l'immatriculation des vélos & trottinettes?
Depuis au moins 1996, les usagers faibles (passagers d’une voiture, cyclistes, trottinettistes, piétons,…) sont indemnisés lors d’un accident de la circulation (dégâts corporels) par l’assureur RC Auto, et ce, même si cet usager faible est responsable de l’accident (traverse en courant au feu rouge, vélo qui ne respecte pas la priorité de droite, ou un feu rouge….), et par déduction que le conducteur automobile est en droit. Ceci signifie en effet que l’automobiliste sera indemnisé du sinistre par la RC Familiale de l’usager faible responsable, au regard du code de la route, pour autant que cet usager faible dispose de cette assurance - qui n’est pas obligatoire - et que l’assureur Auto dont le client n’a commis aucune faute, se verra dans l’obligation d’indemniser le tiers responsable contrairement à toute notion de droit : La faute de droit commun (1382 du code civil): « Tout fait quelconque de l’homme qui cause à autrui un dommage oblige celui par la faute duquel il est arrivé à le réparer ». A terme, avec l’accroissement de véhicules non assurés sur la voie publique, ceci va créer d’énormes surcharges pour les assureurs auto, dont les recettes diminueront en même temps que le nombre de voitures (volonté des pouvoirs publics). L'augmentation des primes pour les automobilistes sera dès lors inévitable. Si cette notion est compréhensible pour les passagers d’une voiture (ils seront que très rarement déclarés responsables d’un accident), elle ne l’est pas pour les autres usagers faibles.En effet, le législateur a considéré qu’il fallait les protéger, car ils (les usagers faibles) ne disposent pas forcément d’assurances hospitalisation, individuelle accident et décès. Pourtant un accident peut aussi arriver à domicile, au sport, ou ailleurs! Pourquoi alors ce protectionnisme, uniquement pour l’hypothèse d’un accident contre une voiture? Autre incohérence du système actuel: un piéton renversé par un vélo ne sera pas indemnisé comme usager faible, puisque le vélo ne dispose pas d’une assurance RC Auto et qu'une RC Familiale n'est pas non plius obligatoire. Pourtant, ce même piéton, renversé par une voiture, bénéficiera d’une garantie d’indemnisation, puisque l’assurance RC Auto est obligatoire et qu’en cas de défaut d’assurance, il pourra faire appel au fonds commun de garantie automobile... Voila pourquoi le monde de l’assurance plaide également pour l’immatriculation et l’assurance obligatoire de chaque véhicule.
- VIAS et les chiffres concernant les distances de sécurité: une belle blague!
Nos "amis" de VIAS ont "observé" 4 millions de voitures et 400.000 camions et autobus (excusez du peu!), pour arriver à une conclusion nette et sans appel: 6 conducteurs sur 10 sont des dangers publics! Vu qu'on ne sait pas si ces 60% se rapportent à ceux de l'étude ou au nombre total de véhicules immatriculés en Belgique, cela donne dans les différents cas: Si ce sont 6/10 sur 4,4 millions de véhicules, cela fait 2,64 millions de conducteurs. Si ce sont 6/10 sur +/- 7 millions de véhicules (nombre total des voitures, camions et bus roulants en 2022), cela fait 4,2 millions de conducteurs. Bref , dans un cas comme dans l'autre, on se demande comment le bon peuple ose encore se regarder dans une glace le matin! Une fois de plus cet organisme, largement subsidié par l'Etat fédéral (plus de 5 millions €/an), présente des chiffres dont il ne donne aucune indication sur la manière pratique via laquelle ils ont été obtenus... Par contre, plutôt que de défendre les automobilistes, VIAS s'échine à en dresser un portrait aussi noir que possible (il faut comprendre: c'est son fond de commerce!). Bien sûr, le ministre Gilkinet saute sur l'occasion pour annoncer des contrôles de toutes sortes sur la problématique, et ce, dès 2024. On se demande ce qu'il trouvera encore à contrôler après cela? Mais on le sait, l'objectif est clair: dégoûter le peuple d'encore utiliser une automobile, tout en faisant rentrer un maximum d'argent dans les caisses... On remarque également l'empressement que met la quasi totalité des médias à relayer ces "études", sans se préoccuper le moins du monde d'en vérifier la véracité. "Le Soir" annonce en titre "VIAS pointe le comportement de 60% des automobilistes", en extrapolant implicitement le chiffre aux 7 millions d'usagers, alors que VIAS semble plutôt opter pour les 4,4 millions de véhicules "observés". La RTBF annonce elle à midi ce 27/12: "Selon une étude de Vias faite sur 400.000 (!) véhicules, 60% des conducteurs ne respectent pas les distances de sécurité". C'est donc la confusion la plus totale! Ces mêmes médias refusent par contre de publier les résultats des enquêtes présentées par Mauto Défense, qui elles pourtant, fournissent toutes les données sociologiques et les marges d'erreur des réponses aux questionnaires (toutes lisibles sur notre site internet mautodefense.org).
- Un casse-vitesse illégal? Téléchargez les normes ici!
Vous estimez qu'un ou plusieurs casse-vitesse ou plateaux surélevé sne répondent pas aux normes légales, mais vous ne les connaissez pas précisément? Alors téléchargez les documents ci-dessous, et si vos soupçons se confirment, adressez une lettre par recommandée à votre administration communale (voie communale) ou à la Région de Bruxelles-capitale (voie régionale) à l'adresse suivante: Service public régional de Bruxelles - Bruxelles Mobilité Place Saint-Lazare, 2 à 1035 Bruxelle Pour identifier une voirie régionale bruxelloise, c'est ici dessous: Pour identifier une voirie régionale en région wallonne: https://www.wallonie.be/fr/demarches/identifier-une-route-regionale-route-communale Pour envoyer votre lettre recommandée en Wallonie: SPW Mobilité et Infrastructures Place Joséphine-Charlotte, 2 5100 JAMBES (NAMUR) Voici les documents utiles pour déterminer la légalité d'un dispositif ralentisseur:
- Dégats occasionnés par un nid de poule? Les assurances s'en moquent!
Victime d'un bris d'amortisseur lors du passage dans un nid de poule, notre membre a suivi la procédure pour se faire indemniser: Faire dresser un PV par la police. Introduire un dossier à la commune (Uccle). Répondre aux demandes de renseignements de la compagnie d'assurance de la commune (Ethias). Quelques semaines plus tard, il reçoit le courrier suivant: Monsieur, Nous nous référons à l'affaire mentionnée ci-dessus. En vertu de l'article 8.4 du Code civil, il appartient aux personnes qui se prétendent victimes d'un préjudice, d'apporter la preuve de la matérialité des faits mais également les éléments constitutifs de responsabilité. A supposer que la matérialité des faits soit établie, la responsabilité de notre assurée ne s'en trouve pas nécessairement engagée pour la cause. Pour que la responsabilité d'une commune soit engagée en matière de voirie, il faut que l'usager soit exposé à un danger anormal, exceptionnel, imprévisible. "La responsabilité des communes doit s'interpréter de façon raisonnable, dès lors qu'elles ne peuvent pas faire contrôler quotidiennement la sécurité de toutes les routes sur leur territoire" (Pol. Anvers, 22 avril 2009, RW, 2009/2010, 1616; B. DUBUISSON et V.CALLEWAERT, La responsabilité civile. Chronique de jurisprudence 1996-2007, Dossiers du JT n°74, vol.I, p.673 s.). Il appartient à chacun de se déplacer avec la prudence requise pour éviter l'accident. L'usager qui s'engage sur une route est, en effet, le premier garant de sa propre sécurité (Pol. Malines, n°06A5664, 3 octobre 2007, CRA, 2008, liv.1,78). Il a à cet égard été jugé que l'on ne peut contraindre une commune à faire des travaux extrêmement onéreux de modernisation qui libéreraient de l'obligation de particulière attention les conducteurs de véhicules automobiles. Dans le cas d'espèce, l'état de la chaussée était visible, et ne pouvait constituer un danger anormal, imprévisible pour un conducteur normalement attentif. Le Code de la Route prévoit, en son article 10, que l'usager doit adapter sa vitesse aux conditions de circulation. Vous faites en outre état du fait que vous avez dû serrer votre droite compte tenu de la présence d'un véhicule venant en sens inverse. Nous croyons utile de rappeler que conformément à l'article 9.3.1 du même code de la route, tout conducteur doit se tenir le plus près possible du bord droit de la chaussée. Il doit être constamment en mesure d'effectuer toutes manoeuvres qui lui incombent et doit avoir constamment le contrôle de son véhicule (art.8.3 2ème paragraphe du code de la route). Il a enfin pour obligation de s'arrêter devant un obstacle prévisible (art.10.1.3°). Nous estimons que la responsabilité de notre assurée, la Commune d'Uccle, n'est nullement établie. Nous regrettons, dans ces conditions, de ne pouvoir intervenir dans cette affaire. Nous vous prions d'agréer, Monsieur, l'expression de nos sentiments distingués. Pour le Comité de direction, Notre abonné répond ensuite ceci: Madame, J’ai bien reçu votre courrier en référence, et vous en remercie. Même si je sais que le principe même de l’assurance est de tenter par tous les moyens de ne pas indemniser les victimes d’un sinistre, je ne peux me résoudre à accepter vos conclusions sans réagir. 1. Article 8.4 du code civil : je pense qu’un PV rédigé par la police, accompagné de photographies apporte une preuve suffisante de la matérialité des faits. 2. Vous affirmez que je n’aurais pas été exposé à un danger anormal (qu’est-ce qu’un danger normal ?), exceptionnel (un trou à cet endroit ne s’y est produit qu’une seule fois à ma connaissance, et est donc bien exceptionnel), imprévisible (vous connaissez des trous « prévisibles » dans une chaussée asphaltée, supposée être régulièrement entretenue ?). Je pense donc être bien dans ce cas de figure. 3. La responsabilité « raisonnable » de la commune : certes elle ne peut faire contrôler journellement tout son réseau de voiries. Mais dans la même rue (drève Pittoresque), un trou énorme au niveau d’un casse-vitesse a mis des mois à être réparé, malgré le fait que plusieurs automobilistes l’avaient signalé à la commune. Cela montre qu’il ne s’agit pas d’un contrôle quotidien, mais plutôt mensuel (ou annuel ?) des infrastructures routières, et qu’il s’agit donc d’une surveillance lacunaire de l’autorité responsable, qui met clairement les usagers en danger. Pour votre information, j’ai aidé à l’extinction d’un véhicule en feu, provoqué par le passage sur ce casse-vitesse et le choc violent qui s’en est suivi. 4. « Il appartient à chacun de se déplacer avec la prudence requise pour éviter l’accident » : si je comprends bien, vous m’accusez de ne pas me déplacer prudemment ! C’est un comble, surtout lorsque l’on possède un bonus maximal sur son contrat d’assurance ! Je suis donc garant de ma propre sécurité, et je l’assume. 5. On ne peut « contraindre » une commune à faire des travaux « extrêmement onéreux » ? Suite à ma plainte déposée à la police, le trou qui a causé des dégâts à mon véhicule a été réparé quelques jours plus tard, avec quelques pelletées de bitume ! 6. Vous prétendez sans avoir été sur place, que « l’état de la chaussée était visible, et ne pouvait constituer un danger anormal, imprévisible pour un conducteur normalement attentif ». Donc vous prétendez clairement que je n’étais pas attentif. J’aimerais savoir comment vous pouvez émettre une telle affirmation ? 7. « Le code de la route prévoit que l’usager doit adapter sa vitesse aux conditions de circulation » : en effet, et cette artère est limitée à 50km/h, vitesse que je n’ai jamais dépassée, et les conditions de circulation étaient normales. Vous sous-entendez une fois encore que je ne respectais pas le code de la route ! Vous avez constaté cela depuis votre bureau de Liège, sans doute ? 8. J’ai en effet dû serrer très fort à droite, car la rue est très étroite, et il y a juste la place pour se croiser à cet endroit. Vous me rappelez un article du code de la route, comme si je l’ignorais ! Encore une supposition subjective de votre part. Je roulais à droite de la chaussée, mais j’ai dû me rapprocher exagérément de la haie qui borde la rue, au risque de griffer ma voiture. Cela n’a donc rien à voir avec l’article de loi que vous me citez, comme si j’étais un nouveau conducteur, qui, en plus n’avait pas constamment le contrôle de son véhicule… Figurez-vous que j'ai donné des cours de maîtrise de conduite et de coaching à la police fédérale. Donc au lieu de recevoir des leçons d’un assureur, j’en donne aux policiers ! 9. « Obligation de s’arrêter devant un obstacle prévisible » : ce trou n’était absolument PAS prévisible, car s’il l’avait été, je l’aurais évité ! En résumé, je trouve votre courrier particulièrement vexant, et surtout rempli de suppositions subjectives, qui tendent à renvoyer la faute de la commune sur moi, ce qui est un comble. Je vous demande donc, au vu de mes arguments qui précèdent, de revoir votre position et de m’indemniser pour le préjudice subi. Très cordialement,
- On a compté 10 millions de bips sur les compteurs de vélos. Intox?
Comment tenter de faire avaler des couleuvres aux honnêtes citoyens? Réponse: en annonçant d’une manière tonitruante que les compteurs "vélocipédiques et trottinettiques" ont "bipé" 10.000.000 de fois à Bruxelles depuis presque un an. Mais que représente réellement ce chiffre? Il y aurait au moins 18 bornes de comptage à ce jour dans Bruxelles. Certaines très proches les unes des autres : rue de la Loi (2 bornes), avenue des Arts, avenue F.Roosevelt (2 bornes) et boulevard Général Jacques. Un certain nombre de vélocipédistes et trottinettistes vont donc passer pour un trajet devant 2 ou plusieurs bornes, et être comptés autant de fois. Il est aussi cocasse de constater que l’accroissement du nombre de passages comptés en un an, est principalement dû à l’accroissement du nombre de bornes de comptage et non pas nécessairement au nombre de cyclistes. C’est simple : un même cycliste va faire biper plusieurs bornes sur son trajet, et au plus il y aura de bornes, au plus il bipera pour ce trajet unique... Dès lors, à combien peut-on estimer le nombre de cyclistes quotidiens à Bruxelles ? Les vélos n'étant pas immatriculés, il est impossible de les dénombrer objectivement. Toutefois, on peut faire une estimation raisonnable à partir des compteurs. 10.000.000 de passages en 10 mois représentent 1.000.000 par mois. On est en droit d'estimer qu'approximativement 150 Delivero et Uber (+ les autres) passent chaque jour au moins 50 fois devant des compteurs. Cela fait environ 225.000 bips par mois. Reste +/- 775.000 bips. Un cycliste quotidien passe devant (en moyenne) 4 compteurs par jour. S’il roule 5 jours par semaine, cela fait 20 bips/semaine ou 80 bips/mois. Donc 775.000 divisé par 80 = 9687 deux roues. Soyons de bon compte et arrondissons à 10.000. Ce chiffre de +/- 10.000 cyclistes/trottinettistes quotidiens, recoupe d'ailleurs toutes les informations et autres estimations disponibles. Si ce nombre n'est certes pas négligeable, il reste anecdotique par rapport au nombre de voitures qui circulent journellement dans la région capitale... A combien peut-on estimer ce nombre de voitures ? Si on plaçait 18 compteurs de passage des voitures dans Bruxelles on arriverait largement à plus d’1.000.000 de bips par jour. Et si Bruxelles Mobilité parle de l'augmentation du nombre de cyclistes à Bruxelles (7%?), quel est l’effet de Good Move sur le nombre de véhicules motorisés dans Bruxelles? Curieusement les derniers chiffres faciles à trouver, sont ceux de l’IBSA datant de 2020. L’IBSA dénombrait 627.188 véhicules motorisés dans Bruxelles. Pour les années suivantes, il est très difficile de trouver des chiffres fiables. Néanmoins on trouve, en grattant un peu les statistiques de STATBEL. Elles dénombrent au 1 août 2023 642.289 véhicules à Bruxelles, soit une augmentation de 2,4%. Grâce à GOOD MOVE, le nombre de véhicules motorisés dans Bruxelles s’est donc accru de 2,4%. On nous affirme pourtant qu'un vélo dans la circulation, c'est une voiture de moins! Si tel était le cas, nous aurions dû assister au contraire à une baisse du nombre de voitures équivalent à l'augmentation du nombre de vélos soit -7%... Curieux, non? A la lecture de ce qui précède, qui avalera encore les couleuvres de Madame Van Den Brandt ou de Monsieur Maron, lorsqu'ils se gaussent d'un chiffre de 10 millions de "bips" ? …
- Good Move 1 an après, qu'en pensez-vous? Résultats de l'enquête.
GOOD MOVE un an plus tard… . En quelques premiers chiffres : · Enquête en ligne (CAWI) du 24 août 2023 au 30 septembre 2023. · Répondants : 1839 dont 78,2% habitant la Région de Bruxelles Capitale (17,5% habitent dans le pentagone) . Et 21,8% habitant dans le reste de la Belgique (dont - région flamande : 10,5 % ; région wallonne : 11,1% ; région germanophone : 0,2 % ) · Approximation de la marge d’erreur maximale d’un sondage sur 1839 sujets : +/- 2,28 % Sur une échelle de 0 à 10 (10 = effet positif du plan Good Move ; 0 = effet catastrophique du plan Good Move) les répondants ont donné comme moyenne 1,15/10 au plan Good Move, soit très proche du « catastrophique ». 44,2% des répondants estiment que la manière dont Good Move a été implanté dans Bruxelles est « despotique » et 48,4% estiment que cette manière est déconnectée des réalités bruxelloises. Soit 92,6% de défavorables. Seuls 6,5% estiment que l’implantation de Good Move est respectueuse des besoins et des attentes des bruxellois. 52,0% des répondants peuvent être considérés comme des personnes PMR Personne à Mobilité Réduite : à ne pas confondre avec des personnes en situation de handicap qui en constituent une petite partie, c’est-à-dire soit rencontrant des difficultés à marcher, des difficultés à se tenir debout, de l’arthrose des genoux ou des hanches, des prothèses aux membres inférieurs (genoux, hanche,...), des problèmes cardiaques, de l’essoufflement, du surpoids ou de l’obésité, une invalidité, un handicap, une paralysie des membres inférieurs, de la cécité, de la surdité, des problèmes d’orientation, etc. Ou encore devant se déplacer régulièrement avec des charges lourdes (valises, objets encombrants, etc.), ou des enfants en bas âge (poussette, etc.). 89,9% de ces personnes PMR déclarent que depuis la mise en place de Good Move, leur mobilité dans Bruxelles s’est compliquée. 4,3% disposent d’une carte de stationnement pour personne en situation de handicap. 24,2% des répondants exercent une activité professionnelle exigeant des déplacements réguliers dans Bruxelles avec un véhicule (de transport ou autre) Parmi ces personnes, 67% déclarent avoir dû refuser une fois ou plusieurs fois un chantier, un service, une intervention, etc. en raison des difficultés à se déplacer et stationner dans Bruxelles depuis Good Move, Pour les livreurs, 89% déclarent que les livraisons qu’ils doivent effectuer dans Bruxelles sont plus compliquées qu’avant. En miroir, 31% des répondants déclarent que depuis la mise en place de Good Move, ils ont essuyé une refus de livraison, d’intervention, de service par un professionnel . 91,9% des répondants déclarent que depuis Good Move, leurs temps de trajet dans Bruxelles s’est toujours ou souvent allongé. 89,7% des répondants déclarent que depuis Good Move, les km parcourus pour effectuer un même trajet dans Bruxelles s’est toujours ou souvent allongé. 91,9% des répondants déclarent que depuis Good Move, que des voiries fluides qu’ils empruntaient auparavant dans Bruxelles sont depuis continuellement embouteillées. 89,2% des répondants déclarent que depuis Good Move, ils ont des difficultés à trouver un emplacement de stationement en voirie alors que ce n’était pas le cas auparavant. 42,9% des répondants déclarent que depuis Good Move, ils leur est arrivé de ne jamais, toujours ou souvent n’avoir pu atteindre le lieu de leur destination avec leur véhicule motorisé. 84,6% des répondants déclarent que depuis Good Move, ils leur est arrivé beaucoup plus souvent d’être confronté à des situations dangereuses dues à un non-respect du code de la route par des cyclistes, trottinettistes, piétons, motocyclistes ou automobilistes. 45,7% des répondants déclarent que depuis Good Move, il leur est arrivé très souvent d’être agressé verbalement par des cyclistes, trottinettistes, ou piétons.. 64,8% des répondants déclarent que depuis Good Move, ils ont toujours ou souvent le sentiment d’être emprisonnés dans leur quartier. 72,2% des répondants qui se rendaient dans le pentagone avant Good Move déclarent ne plus jamais y aller ou moins souvent. 70,4% des répondants déclarent ne plus fréquenter les quartiers commerciaux qu’ils fréquentaient avant Good Move, en raison de la suppression des emplacements de parking ou d’accès en voiture. 19,7% le font moins fréquemment. 76,2% des répondants estiment qu’il est faux de prétendre que Good Move a un impact positif sur la réduction de la pollution. 94,7% des répondants estiment qu’il est faux de prétendre que Good Move a un impact positif sur l’amélioration de la circulation automobile. 79,0% des répondants estiment qu’il est faux de prétendre que Good Move a un impact positif sur la réduction des accidents de circulation dans Bruxelles. 74,2% des répondants estiment qu’il est faux de prétendre que Good Move a un impact positif sur la réduction du bruit de la circulation dans Bruxelles.` 84,3% des répondants estiment qu’il est faux de prétendre que Good Move a rendu plus agréable la vie, les achats et les promenades dans les quartiers bruxellois 76,9% des répondants estiment qu’il est faux de prétendre que Good Move a rendu les transports en commun plus efficaces dans Bruxelles. 92,6% des répondants estiment qu’il est faux de prétendre que Good Move a permis de décrisper les relations entre les automobilistes et les cyclistes.
- Un PMR (Personne à Mobilité Réduite), c'est quoi exactement?
Il n’est pas inutile de regarder ce que sont les personnes PMR. On confond souvent PMR et personne en situation de handicap. Et si on les confond, les mesures que l’on peut prendre pour améliorer la mobilité des PMR va exclure un nombre considérable d’entre eux (plus de 400.000 PMR à Bruxelles) pensant qu’ils sont tous en chaise roulante. Or PMR et personne en situation de handicap ne sont pas des synonymes. PMR = personne à mobilité réduite. Le terme MOBILITé est au centre. Pour l’UE, une personne PMR, est quelqu’un qui éprouve des difficultés pour se déplacer de manière provisoire ou permanente. Une femme enceinte, un jeune à la jambe plâtrée, quelqu’un qui conduit un landau, une personne qui souffre d’arthrose de la hanche, une personne atteinte de surdité ou malvoyante un élève de 10 ans qui transporte un cartable de 10kg, sont tous des PMR. Alors qu’une personne en situation de handicap est quelqu’un qui présente une limitation d'activité ou une restriction de participation à la vie en société subie dans son environnement en raison d'une altération substantielle, durable ou définitive d'une ou plusieurs fonctions physiques, sensorielles, mentales, cognitives ou psychiques,. Donc cela va bien au delà de la mobilité. Une personne amputée de la main sera considérée comme « handicapée » mais pas comme PMR. Selon les chiffres du SPF affaires sociales on dénombrerait à Bruxelles un peu plus de 25.000 personnes en situation de handicap à mettre en balance avec les 400.000 PMR bruxellois.
- Lucien Beckers débat sur la voiture électrique sur LN24.
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